Quand on est petit, il y a des gestes pénibles qui font du bien: le thermomètre dans le derrière par le pédiatre, le suppositoire par papa et maman… des choses qu’on aime pas forcément, mais qui soulagent.

Tout dans la sodomie est déjà en germe dans ces premiers souvenirs : ça peut-être bon si c’est fait avec délicatesse. Avec amour. Qu’on soit actif ou passif, il faut se laisser aller, avoir confiance, prendre son temps, être délicat. Sinon, ça peut très mal se passer. Ça génère beaucoup de stress. Quand on reçoit parce qu’on peut avoir mal. (Pour être pratique, dans ses cas là, ça aide de « pousser ») Quand on est actif, le risque de faire mal est hyper angoissant, ça demande un méga contrôle.

Cela dit, ça peut être très bon. Le genre de chose à essayer au moins une fois après s’être bien préparé. Et après s’être fait enculé (curieusement, ça reste une des plus grosses injure), on comprend mieux l’importance de la délicatesse. Ça devrait être prescrit à tout les garçon au début de leur vie sexuelle. Comme formation à la douceur.